À propos
Cécile Ropiot
Quand je me suis présentée sur la première version de mon site, je disais que j’avais fait des études scientifiques, que j’étais très cartésienne, que j’étais très intéressée par les neurosciences depuis très jeune, que j’intervenais dans une école d’hypnose, en faisant des cours d’éthique et de déontologie pour de futurs thérapeutes et des cours d’autohypnose pour le grand public.
Pour cette deuxième version, j’avais commencé à écrire tout cela, et puis je me suis dit que cela ne servait en réalité qu’à me rassurer vis-à-vis de ce que pouvaient penser de moi les visiteurs du site.
Est-ce que ce site doit convaincre à tout prix que je suis incroyable, la meilleure, la plus comme ceci ou la plus comme cela ? Non, et puis surtout je n’en sais absolument rien !
Une thérapie, brève ou non, c’est avant tout une rencontre entre deux êtres humains, une relation qui se crée au fur et à mesure, petit à petit comme on tisserait un lien, à la fois fragile et si solide. Un lien fragile au début, puis peu à peu la confiance s’installe, rendant le lien de plus en plus solide et fort. C’est ensuite grâce à (entre autres) ce lien que les changements peuvent commencer à s’installer chez les personnes qui viennent au cabinet.
Chaque jour, je fais ce que j’aime, ce qui me passionne et m’anime. Je ne dis plus « je vais travailler » car j’exerce ma passion quotidiennement dans mon cabinet ou dans des structures diverses auprès de gens qui veulent changer, ouvrir un nouveau chapitre de leur vie, ou tout simplement curieux de leur fonctionnement.
Je m’appelle Cécile depuis 1973, et en fait, par-dessus tout, je suis passionnée par les êtres humains, la manière dont ils fonctionnent, pensent, réagissent, et par les mécanismes et les moteurs émotionnels qui les animent. Comme si chaque être humain était une aventure, une terre délicate à découvrir et à comprendre. Passionnant, je vous assure !
Avant d’avoir mes deux enfants en 2006 et 2009, j’ai fait plein de métiers différents : Du commerce, de la comptabilité, du marketing, du management. Mais à un moment ces métiers perdaient de leur sens, alors j’en changeais. Puis, en 2006, grâce à la naissance de mon premier enfant, je me suis posé enfin les bonnes et les vraies questions sur ce qui comptait vraiment pour moi, et ce qui en est sorti c’est : « les êtres humains ».
Alors j’ai cherché un métier qui comblerait cette passion et qui redonnerait du sens à ma vie professionnelle. Et c’est l’hypnose qui l’a emporté. Très timidement au début, car j’étais sur la réserve (mon côté cartésien et contrôlant oblige !), puis, peu à peu, j’ai compris que j’étais dans une croyance limitante et non dans la connaissance de cette technique, qui en très peu de temps, s’est imposée à moi comme une évidence.
Je me suis formée pendant 3 ans dans deux écoles différentes, fait une longue introspection sur moi et mes mécanismes et propres moteurs, et diplômes en poche j’ai ouvert mon cabinet en 2009.
